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Retraite micro-entrepreneur
Les droits à la retraite d’un entrepreneur dépendent : du nombre de trimestres validés, permettant de prétendre ou non à une retraite à taux plein,
du montant cotisé, et donc, pour un micro-entrepreneur, du chiffre d’affaires déclaré durant toutes ses années d’activité.
Ainsi, chaque année civile, en fonction des ventes encaissées par la micro-entreprise, un nombre de trimestres validés est déterminé, et c’est l’objet de notre premier article que d’informer les micro-entrepreneurs sur le chiffre d’affaires minimum à réaliser pour valider le maximum de 4 trimestres par année d’activité.
Mais lorsque le micro-entrepreneur a cumulé plusieurs activités, la prise en compte de cette pluri-activités dans le calcul de ses droits à la retraite est à anticiper, notamment lorsque : des ARE ont été perçus par l’entrepreneur lors de la création de son entreprise,
plutôt que ces aides, c’est l’ARCE qui a été demandée lors de la création de l’entreprise,
les revenus de la micro-entreprise ne font que compléter les revenus salariés de l’intéressé.
Trimestres de retraite d’un micro-entrepreneur
Pour pouvoir percevoir une retraite à taux plein, un micro-entrepreneur doit atteindre le nombre de trimestres d’activité imposés par la loi, et, pour cela, déclarer des ventes suffisantes chaque année.
> suiteRetraite salarié et micro-entrepreneur
Un salarié, même s’il ne travaille pas à temps complet sur une année civile, valide assez rapidement quatre trimestres de retraite. Mais il doit s’en assurer, et compléter dans tous les cas le montant de sa pension par ses cotisations de micro-entrepreneur.
> suiteRetraite ARE ou ARCE et micro-entrepreneur
Un chômeur valide des trimestres pour sa future retraite quand il perçoit des ARE, mais quand est-il lorsqu’il crée une entreprise. Et lorsque l’entrepreneur demande le versement de l’ARCE, quelles sont les incidences de cette aide sur le calcul de sa pension retraite ?
> suiteRetraite complémentaire micro-entrepreneur
La retraite complémentaire d’un micro-entrepreneur est comprise dans les cotisations versées au RSI ou à la CIPAV, il n’a donc aucune obligation d’adhérer à un quelconque organisme de retraite complémentaire ou d’assurance, car les compagnies tentent de placer des assurances prévoyances en les faisant passer pour obligatoires. Quant à une assurance supplémentaire, si la loi Madelin est très avantageuse pour se constituer une épargne retraite, elle n’est pas vraiment adaptée à la micro-entreprise.
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